Alors que l’on pense carrière ou salaire, on s’attaque moins aux préjugés culturels qui ont la vie dure. A lire certains interviews de femmes dans des magazines qui ont fait de cette égalité un cheval de bataille, je m’interroge. Ce qui devrait être un fait ordinaire, la réussite d’une femme, continue d’être traité comme un fait extraordinaire.
Genre : « Comment avez-vous fait, c’est merveilleux ? ». Au cours de l’entrevue, invariablement, tombe le problème de la répartition entre vie privée et vie professionnelle. Or, à parcourir les entretiens de leurs confrères, j’ai beau me crever l’oeil, je ne vois jamais ce type de questions.
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