Fêter la nouvelle année en janvier, si peu de temps après le solstice d’hiver est une idée des plus étranges. Sous l’Empire romain, le mois de mars, symbolisant l’énergie guerrière et printanière, démarrait l’année. Mars, dieu de la guerre, du printemps, de la jeunesse et responsable de la fertilité des récoltes. Tout un programme ! Et janvier finissait l’année. Dédié à Janus, dieu des commencements et des fins, des choix, des clés et des portes.

Janvier est passé, ouf, nous voilà en février, les jours rallongent nous sortant de cette douce somnolence de l’hibernation. Nous avons le temps de faire le ménage de nos pensées, de nos choix ; de fermer de vieilles po...