Comment en êtes-vous arrivé à vous préoccuper de la réforme de l’audit ?

En 1993/94, à la demande de M. StraussKahn, qui était ministre de l’économie et des finances, j’ai fait un rapport sur des réseaux d’audit et de conseil. Parce qu’à ce moment-là, il y avait une grande interrogation sur la question de savoir jusqu’où les grandes sociétés d’audit pouvaient aller au-delà de la seule reddition des comptes. J’ai ensuite rejoint l’Institut Messine, un think tank sur les questions qui concernent les commissaires aux comptes. Nous y avons fait quelques travaux qui sont intéressants sur la fiscalité, sur l’information financière et notamment un très joli travail sur «...