En cette période d’hystérisation écologiste, l’auteur démontre point par point comment une idéologie anticapitaliste, antilibérale, malthusianiste née dans les années 70 aux Etats- Unis a su créer une quasi religion en s’appropriant une science, l’écologie, et en s’arrogeant le monopole du bien. Ses prédicateurs de l’apocalypse ont su infiltrer tous les milieux politiques, culturels et intellectuels et ont obtenu leur plus beau trophée en France, en 2005, avec le fameux principe de précaution.
Dans un monde, dont personne ne nie l’imperfection mais qui va de mieux en mieux, l’écologisme, malgré les démentis criants de ses prédications, continue sa pastoral...
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