Après avoir révélé l’importance des événements hautement improbables dans la finance de marché (Le cygne noir) et dans les activités économiques (« Antifragile », « Les bienfaits du désordre »), l’auteur soulève la problématique de la prise de risque (« jouer sa peau ») dans la vie publique et dans la vie personnelle. « Face au risque de ruine, les probabilités prennent tout leur sens ». Construisant une nouvelle « éthique du risque », il est ainsi conduit à s’intéresser à l’économie politique, à la vie des affaires, à la religion, à l’histoire… Il soutient notamment que seule la prise de « vrais risques » – avec les bénéfices ou les pertes q...