Le titre de l’ouvrage de Maxime Renahy « Là où est l’argent » pourrait de prime abord nous rappeler la sempiternelle antienne du PCF : « Prendre l’argent là où il est » c’est à dire chez les riches. Puis nous nous souvenons qu’Alphonse Allais avait énoncé dans une célèbre maxime « Il faut prendre l’argent là où il se trouve, c’est-à-dire chez les pauvres. Bon d’accord, ils n’ont pas beaucoup d’argent, mais il y a beaucoup de pauvres. » Y aurait-il une troisième voie ? En effet, tout simplement laisser l’argent où il est, c’est-à-dire chez les riches. L’auteur, administrateur de fonds à Jersey pour l’un des plus gros cabinets de l’île puis agent d...