Au cours des quinze dernières années, en conséquence notamment des deux grandes crises (Subprimes et Covid), le taux d’endettement des économies avancées s’est accru de 50 %, passant de 72 % du PIB à 125 %.
Cette situation génère une inquiétude partagée par les opinions publiques et les gouvernants que la remontée des taux directeurs des Banques Centrales est loin de pouvoir apaiser. Elle interroge aussi sur l’opportunité des déficits dont la maitrise est bien souvent reportée sine die, sur la « saine gestion » des finances publiques et les contraintes qu’elle fait peser sur l’avenir des générations futures et notamment sur leurs revenus (ce qui reste contestab...
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