L’auteur présente une vision des marchés à l’opposé des critiques qui leur sont régulièrement faites mais aussi à l’opposé des discours de leurs défenseurs. L’axiome de base de l’ouvrage est que contrairement aux idées reçues des deux côtés ; les marchés n’ont pas d’influence sur la conjoncture économique qu’ils se contentent de refléter, même s’ils le font parfois de manière brutale. Le développement de la finance et des transactions sur les marchés, leur approfondissement, leur a donné une autonomie de plus en plus grande vis-à-vis des intervenants qui ne peuvent plus les « manipuler » qu’elle que soit leur puissance. A partir de nombreux exem...