L’auteur s’efforce de montrer que les systèmes financiers internationaux sont toujours exposés à une crise systémique, quinze années après celle de 2007-2010. Il souligne le rôle essentiel exercé sur l’économie productive par les marchés financiers primaire, secondaire et « fictif » des produits dérivés et structurés, dont il analyse les principaux produits. Il estime que le montant des transactions sur ces derniers marchés s’élève anormalement à sept fois le PIB mondial et à six fois la capitalisation boursière consolidée. Il rappelle les principales théories monétaires : classique, marxiste, keynésienne, friedmanienne, post-keynésienne. Puis il finit pa...