L’auteur critique le formalisme mathématique qui conduit le dirigeant à n’être plus responsable que de la qualité théorique et formelle du système de prise de décision, et non de ses conséquences. Il expose quelques exemples concrets de champs où les statistiques sont utilisées à tort : décision individuelle, investissements, choix sociaux d’équilibre entre solidarité et responsabilité, décisions publiques… Il présente enfin les outils alternatifs qui devraient être mis en place pour améliorer les prises de décision dans un univers incertain. Il montre que la décision ne réside pas dans l’application d’un « goût pour le risque » mais dans l’interpré...
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