Dans son dernier livre, Pascal Blanqué s’invite dans la controverse qui oppose monétaristes et néo-keynésiens, relative à l’influence de la création monétaire sur l’activité économique. La parution de son ouvrage est d’autant plus opportune que, depuis la crise financière de 2008-2010, cette question fondamentale a été débattue par les keynésiens, partisans de faibles taux d’intérêt et d’une politique monétaire accommodante, et les friedmaniens, adeptes de taux élevés et de restrictions monétaires. Cette polémique est relancée par l’inflation actuelle des biens de production et de consommation.

L’ouvrage est organisé en trois parties et 14 essais qui...