L’arrestation puis la très longue garde à vue de Carlos Ghosn ont quelque peu troublé l’image positive que les occidentaux ont en général du Japon. Et tous ceux qui n’excluaient pas d’occuper à un moment de leur carrière un poste de responsabilité au sein d’une filiale de leur entreprise à Tokyo se sont interrogés. Car le risque pour un mandataire social ou un directeur financier de devoir répondre, à la justice du pays dans lequel il se trouve, d’erreurs commises dans son champ de responsabilités est bien réel. Une connaissance insuffisante des règles locales, une incapacité à lire la langue du pays et la nécessité de se reposer sur les conseils d’un tier...
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