Le défaut grec est juste une question de "quand", pas de "si"
Bien que le parlement grec ait donné au gouvernement un peu d’oxygène avec son vote de confiance du mardi 21 juin, un défaut de la Grèce paraît inévitable. Avec un ratio dette sur PIB de plus de 150 %, des déficits annuels importants et des taux d'intérêt à plus de 25 %, la seule question est : « quand le défaut se produira ? »...