« J’achète ce qui existe et ce qui va venir » : et si le raisonnement était valide en évaluation d’entreprise ?
Dans un article récent de la lettre Vernimmen, son auteur critique fortement le raisonnement qui consiste à dire que la valeur de la société s’obtient en ajoutant à l’existant évalué en valeur comptable des capitaux propres, la valeur actuelle des flux de trésorerie futurs de l’activité que l’on détermine par l’application...