Depuis l’incendie malheureux des datacenters d’OVH (1), les annonces de Microsoft sur une vulnérabilité critique d’accès aux données d’Azure (2), ou encore la panne géante de grands noms du Web en juin 2021 lié à un défaut de l’hébergeur Fastly (3), il n’y a aucun doute sur le fait que les applications Cloud ne sont pas plus en sécurité que celles hébergées dans les locaux d’une entreprise. Pire, il existe un faux sentiment de sécurité propre à toute délégation de service contractualisé et payant. Cela est d’autant plus fâcheux que l’on oublie que le client reste responsable, au sens du RGPD, des données qu’il confie à un sous-traitant. Disponibil...