À l’heure où les directions financières accélèrent l’intégration de l’intelligence artificielle dans leurs opérations, une nouvelle ligne de front s’ouvre : celle des décisions automatisées. Si les IA génératives permettent des gains de productivité remarquables, elles introduisent aussi une vulnérabilité insidieuse : la compromission des raisonnements, des logiques métiers, et des signaux de validation.

Dans ce nouveau paysage, la cybersécurité ne suffit plus à protéger les systèmes. Elle doit désormais sécuriser ce que l’IA influence, propose, ou exécute.

Le cas Arup : le jour où le deepfake a pris le pouvoir

En février 2024, un salarié d’Arup à Ho...