Les deux dernières années ont été le théâtre d’une prolifération de textes européens ayant pour objectif de mieux encadrer les pratiques de reporting non-financier. Si l’exercice n’est pas nouveau, l’intérêt sincère qui y est porté par de nombreuses parties prenantes, lui, l’est un peu plus. C’est que les événements récents – mouvements citoyens, épisodes climatiques et pandémiques – ont réveillé chez beaucoup des consciences engourdies. Y compris celles des politiques européens pour qui la nécessité de se doter des moyens de passer à l’action, au-delà des grands engagements symboliques, est devenue une urgence critique.
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