Il existe par exemple deux possibilités de gérer un contrôle de gestion délocalisé. Considérant que leur rôle est d’être avant tout des « business partner », on peut considérer qu’il est légitime que ces derniers soient rattachés hiérarchiquement aux directeurs opérationnels qu’ils accompagnent quotidiennement. Ce rattachement hiérarchique permet donc une grande proximité avec les opérationnels et donc l’assurance d’une communication claire et directe. En effet, dans ce mode d’organisation le contrôleur de gestion n’est pas perçu comme un membre de la direction financière risquant de remonter des informations dont on pourrait souhaiter qu’elles restent...