Longtemps réservée aux seuls spécialistes des technologies de l’information, les stratégies de protection des données et des infrastructures doivent désormais être intégrées dans le pilotage financier des entreprises.
Le constat est intuitif : une société dont l’activité serait paralysée par une attaque informatique verrait certainement sa valeur dépréciée. L’atteinte à sa réputation, à la confiance que lui font ses partenaires et fournisseurs – souvent interconnectés pour permettre la conduite de leurs activités – et le crédit attribué à sa capacité à revenir à une situation normale sont autant d’éléments qui peuvent contribuer à traduire les effets d’une agression numérisée en termes financiers.
Au-delà des pertes immédiates liées à la cessation temporaire d’activités post-attaque ou à la non-disponibilité des données, des impacts secondaires viennent aff...
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