La face la plus évidente de la finance verte correspond au « financement des investissements verts » qui représentent déjà près de 10 % de l’investissement dans l’économie française, une part qui devrait augmenter encore de cinq points de pourcentage pour engager vraiment la transition écologique. Une augmentation importante, mais il restera toujours 85 % de l’investissement dont la raison d’être restera indépendante de cette transition.
La finance verte sera catalytique et le discours pourra être performatif. Cependant, quelle que soit son ambition, elle ne peut se substituer ni aux politiques climatiques qui font évoluer le couple rendement risque des projets en fa...
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