Jusqu’à présent, l’entreprise gérait ses données dans une forme d’automatisme ou de processus simple : créer, maintenir, supprimer/archiver.
Ces processus étaient en défaut quand il s’agissait de mettre en place un progiciel intégré, de faire une migration, de réaliser des interfaces où s’il s’agissait simplement de mettre en place le pilotage de l’entreprise : Il y en avait de trop et pas les bonnes ! Les outils de collecte et d’assemblage (SQL) étaient au niveau de l’informaticien et non de l’utilisateur. Enfin, très souvent, de nombreux problèmes de fiabilité discréditaient leur utilisation.
La donnée, base de décision est aussi une richesse : les fichiers clients ou fournisseurs accumulent les informations sur les tiers, connaissent leur goûts, leur moyens et ce qu’on appelle le Big data oriente la stratégie Marketing.
La donnée devient stratégique, il faut donc la gérer : tout un ensemble d’outils existent aujourd’hui mais il faut d’abord savoir ce que l’on veut.
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