Le rôle du DAF, en période de crise et de profondes transformations, nécessite de faire appel à toutes les compétences techniques indispensables. Mais surtout à des qualités humaines exceptionnelles impliquant de bien se connaître soi-même
Après plus de vingt ans passés dans le monde de l’entreprise en retournement, le facteur humain me paraît toujours rester le plus complexe : recruter les bonnes compétences managériales pour mener à bien un plan de redressement pérenne et une transformation fondamentale d’une entreprise se révèle être un exercice tout à la fois passionnant et exigeant.
Le poste de DAF n’échappe pas à cette règle, bien au contraire, tant il est à la jonction entre toutes les décisions clés, quotidiennes ou stratégiques, qui engagent le futur et la pérennité même de la société.
Beaucoup de ces décisions doivent être prises dans l’urgence et en situation de crise :
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