2015 aura été l’année de tous les superlatifs en matière de rachats d’entreprises, dépassant le niveau record de 2007 et atteignant ainsi 4 600 milliards de dollars dans le monde. Les mega-deals américains ont notamment été nombreux.

Les raisons de ce regain d’appétit ? Liquidités abondantes, faibles taux d’intérêt et moyen de pallier une croissance organique parfois en berne. Étonnamment, si l’Europe a suivi cette tendance globale, la France s’est trouvée à la traine avec un repli du montant des opérations de M&A d’environ 40 % par rapport à 2014.

Une analyse rapide montre que l’instabilité socio-économique qui plane au-dessus de notre pays conjuguée à une repris...