Le BFR est souvent encore abordé par « petits bouts », ou plutôt sans corrélation entre les trois composantes d’exploitation essentielles que sont les poste Client, Stock et Fournisseurs. De la même façon, il est souvent abordé quand le niveau de trésorerie passe en dessous d’un seuil d’alerte, alors que c’est un véritable levier pour le développement de l’entreprise. Il devient un sujet fédérateur très transverse, permettant une implication plus forte des différents acteurs concernés.

Selon la dernière étude du cabinet de conseils financiers Redbridge[1], le poids du BFR dans l’économie française représente 600 milliards d’euros, avec une augmentation...