La montée récente d’activistes au capital de sociétés cotées européennes a mis le doigt, s’il en était besoin, sur un nouveau type de risque pour les directions financières lié indirectement à MiFID et la fragmentation de la liquidité : se laisser surprendre par un investisseur non amical. Le risque n’est pas tant celui de la prise de contrôle que du bruit ainsi que du temps et de l’énergie à y allouer.
Comment une société peut-elle raisonnablement surveiller ses flux lorsque ses volumes sur son marché local de référence représentent moins de 50 % des volumes totaux et que son titre est traité sur une multitude de Dark Pools et MTFs ? Autant chercher une aigui...