Le Code de commerce autorise les sociétés à racheter leurs propres actions ou droits sociaux selon trois procédures principales :

– le rachat réalisé en vue d’une réduction de capital non motivée par des pertes ;

– le rachat réalisé en vue d’une redistribution aux salariés ;

– le rachat réalisé dans le cadre d’un plan de rachat d’actions par les sociétés cotées et les sociétés non cotées, notamment pour améliorer la gestion financière de leurs fonds propres ou pour favoriser la liquidité des titres.

Rappelons que, sous l’impulsion du Conseil constitutionnel, le rachat de ses propres titres par une société ne relève plus depuis le 1er janvier 2015 d’un régime...