À chaque étape de notre vie correspond un projet immobilier, premier job, mariage, premier enfant… Foncia est l’un des principaux acteurs du marché à nous permettre de réaliser ses évolutions et ses projets. La crise sanitaire a accentué l’engouement des Français à devenir propriétaire. En période d’incertitudes économiques, la pierre continue d’être une valeur refuge, en guise de sécurité. Parallèlement, les grandes entreprises profitent de l’opportunité du télétravail pour réduire leur patrimoine immobilier, certains centres d’affaires deviennent déserts. Être un CFO dans un tel secteur, sur un marché aussi contrasté, offre la possibilité de saisir d’intéressantes opportunités mais fait aussi courir des risques. Antoine Grenier a bien compris ces enjeux et nous démontre à travers ce portrait comment, grâce au déploiement des nouvelles technologies, il n’a pas été surpris par la crise sanitaire de la Covid-19.
Yvon Farnoux (YF) : Bonjour Antoine Grenier, vous avez une grande carrière à l’international dans diverses industries notamment dans le secteur « Oil and Gas ». Qu’est-ce qui vous a attiré chez Foncia il y a environ trois ans ?
Antoine Grenier (AG) : C’est un concours de circonstances. En effet, je suis arrivé chez Foncia grâce à mon patron Philippe Salle, l’actuel président de l’entreprise, que j’ai connu chez Geoservices quand Schlumberger a racheté le groupe. Nous avons eu l’occasion de travailler ensemble sur l’intégration durant une petite année. Ensuite, il a quitté le groupe, c’était prévu. Il a rejoint Altran pour une remise à niveau du groupe qui n...