Crise ou pas crise, tout n’est pas à jeter dans les innovations financières. Prenez les titres de dette subordonnée (ou titres juniors ou « mezzanine », c’est-à-dire une dette dont les porteurs viennent « après » les créanciers seniors ou chirographaires dans l’accès aux actifs de l’entreprise en cas de défaut). On soutient ici qu’ils renforcent considérablement la gouvernance de l’entreprise et peut-être aussi la stabilité financière de l’économie. Rien moins ! Voici pourquoi.

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