Selon une récente enquête menée par l’IFOP [1] pour le courtier en assurance Bessé, 55 % des dirigeants d’ETI considèrent le cyber-risque comme important mais « non prioritaire ». Or à l’heure où les menaces informatiques se multiplient, les cybercriminels n’hésitent pas à s’en prendre aussi à des structures plus petites, plus vulnérables et sans protection. Bien qu’elles aient souvent tendance à penser qu’elles sont des « petits poissons », les PME, comme les ETI ne sont pas à l’abri des cyberattaques. On constate également qu’il n’existe « presque aucun lien entre la taille de l’entreprise et la fréquence à laquelle elle est ciblée par la frau...