L’application de la seconde Directive sur les Services de Paiement (DSP2) depuis le 1er janvier 2018 est l’occasion de réfléchir sur la façon dont les directeurs financiers, quelle que soit la taille de leur entreprise, bénéficieront des innovations technologiques mises sur le marché par les Fintechs puis par les établissements classiques, et enfin par une combinaison des offres des acteurs.

Mais ce dossier dépasse le simple cadre des paiements. Ainsi nous envisagerons l’évolution entre 2010 et 2015 des modes de gestion du risque. Après les commentaires d’un sondage européen, nous aborderons les éléments pratiques qui font appel à des courtiers de nouvelle génération et donnent directement accès au marché sans recourir aux banques, approche cohérente avec certains résultats de l’étude.

Des éléments de réflexion seront fournis sur l’Intelligence artificielle dans la gestion des prévisions de trésorerie, ses limites quand l’organisation sousjacente n’est pas rigoureuse ni largement comprise dans l’entreprise.

Puis, sera traité le sujet du financement des créances client en recourant à des plateformes spécifiques mettant en relation l’entreprise avec des investisseurs potentiels français et étrangers à la recherche d’un rendement de placement à court terme à faible risque supérieur au taux, voisin de zéro, servi par le système bancaire dans le cadre de la politique monétaire accommodante de la Banque centrale européenne.

Enfin, nous évaluerons les possibilités des blockchains dans le traitement – sans tiers de confiance spécifiques – des contrats bancaires, de financement et d’assurance et leur sécurisation, sources de coûts dans les directions financières.

Ce dossier dépasse le simple cadre des paiements. Ainsi nous envisagerons l’évolution entre 2010 et 2015 des modes de gestion du risque.