La révolution de l’IA révèle, selon Bronner (2020), « la nature humaine la plus profonde », qui s’est construite depuis la préhistoire. Il prétend que l’IA contribue à « libérer le cerveau humain disponible ». Ce temps est consacré soit à la création ou au partage de connaissances, soit à une navigation aléatoire sur internet, qui entraîne une « apocalypse cognitive ». Les biais de l’IA contribueraient au développement de la désinformation et de l’a-information, à multiplier les clash, à propager les thèses complotistes et à produire de nouveaux fantasmes collectifs autour de l’homme-machine et de la trans-humanisation. Ces biais favoriseraient...
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