Éditions Raison d’agir

Les  auteurs  soulèvent la thèse selon laquelle le monde d’après-covid  ne sera plus régi par un libéralisme néo-keynésien fondé sur une finance bancaire régulée, mais par un « libertarianisme autoritaire » dominé par la « finance de l’ombre » (ou shadowbanking). Ils développent un raisonnement à la fois rigoureux et documenté, afin de démontrer que le Brexit a été moins provoqué par un rejet de « l’asphyxie bruxelloise » par le peuple anglais, que par l’activisme d’un mouvement pro-leave fomenté par les investisseurs de la finance de l’ombre (hedgefunds, capital-investisseurs, gestionnaires d’actifs, traders quantitatifs...