En période de crise sévère, l’incertitude atteint des niveaux extrêmes et la gestion « habituelle » est souvent mise en question car elle ne répond pas ou très imparfaitement aux problèmes posés. Le risque « existentiel » doit alors être appréhendé selon l’adage philosophique : « penser comme si l’on était éternel et agir comme si l’on devait mourir demain ». Ce grand écart est très inconfortable et peu d’acteurs de l’entreprise y sont préparés. À fortiori quand il s’agit d’évènement du type « cygne noir ». Aussi, la direction financière ne craindra pas d’innover de rassurer, d’organiser et de former les collaborateurs de l’entreprise.

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