Le témoignage de Laure de la Bretèche a permis de situer le débat en soulignant que la digitalisation des processus financiers ne relevait pas seulement d’enjeux réglementaires et techniques, mais qu’elle s’inscrivait avant tout dans un vaste mouvement de simplification et d’amélioration de la relation entre les entreprises et les acteurs publics.

En tant que SGMAP (Secrétaire générale pour la modernisation de l’action publique), elle a par ailleurs insisté sur le fait que ces évolutions profondes nécessitaient d’en prendre toute la mesure, tant du point de vue des organisations que des métiers, et de consentir à des efforts d’écoute et d’accompagnement attentifs et...