L’auteur plaide en faveur d’une « révision radicale » du modèle économique actuel perçu comme une discipline intellectuelle régie par la recherche d’efficacité et un système rigide d’organisation de la société. Il estime déraisonnable de « dissocier l’humanité de la nature » et « l’économie de la biosphère ». Il préconise un meilleur « croisement de l‘économique, du social et de la nature ». Afin de jeter les bases d’une « transition juste », il rappelle d’abord le cadre de la biosphère, le mode de fonctionnement de l’économie actuelle et les principes de la théorie de la justice. Il prône ensuite une approche fondée sur le développement ...
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